Aperçu du numéro 1.0 de ÉTATS DE SPLENDEUR, 2011

 Ce texte est le communiqué expliquant la nature du premier numéro de ÉTATS DE SPLENDEUR, le #1.0, paru au printemps 2011. La plupart des articles de ce numéro ne sont disponibles que dans la version imprimée, aujourd’hui épuisée, mais disponible aux archives de la Bibliothèque Nationale du Québec. Vous pouvez également commander des copies rétro de ce numéro 1.0 de EDS ou de tout autre numéro en nous adressant un courriel à info@etatsdesplendeur.com Nous rendons ce texte disponible à titre rétrospectif, clin d’oeil à nos tout débuts.

Numéro 1 Printemps 2011  »C’est ici que l’on débarque. »

  Numéro premier de la publication imprimée de EDS.

Née à Québec, la publication États de Splendeur dédie son premier numéro à la ville qui à vu naître son projet.

C’est ici que l’on débarque. Tel est le nom qui a été donné à la toute première publication de États de Splendeur. Comme son nom l’indique, on y fait référence à Québec,  »lieu où l’on débarque ». En effet c’est ici, que le fleuve se rétrécit, et où l’on bâtit la première ville fortifiée dédiée à une population civile permanente en Amérique du Nord . Bien, bien longtemps auparavant pourtant, le lieu était habité et parcouru par divers peuples autochtones. Il servait en fait, de lieu de congrégation pour différentes nations.

Aujourd’hui encore, Québec sert de lieu de congrégation, elle est la capitale nationale du Québec. Si, il y a de cela que quelques décennies, que la ville conaissait des difficultés de croissance et une baisse de son taux d’immigration, elle est aujourd’hui un exemple de dynamisme économique, culturel, et même urbanistique. On y retrouve un monde de découvertes, ainsi qu’une richesse de diversité croissante. Même si plusieurs facettes de la ville doivent encore être améliorées, cette actuelle évolution mérite d’être appréciée. États de Splendeur est fondé et basé à Québec. Il allait donc de soi que l’on dédie notre premier numéro à la nouvelle capitale.

Un parcours à donc été dessiné dans Québec, à travers plusieurs de ses attraits. Vous n’y verrez pas le Château Frontenac, ni les Plaines D’Abraham. Ce parcours n’est pas celui du touriste mais bien celui du résident de la ville. Il arpente des endroits quelque-peu hors piste, souvent singuliers, qui illustrent bien à leur façon l’art de vivre à Québec.

8 clins d’oeil sont donc offerts à des réalités de la ville, mais aussi de sa région. À chaque numéro de États de Splendeur, on découvre un métier particulier ainsi qu’un personnage, lieu ou fait historique. Ces deux chroniques reviennent à chaque saison.

Vous pouvez consulter les profils plus approfondis du métier de la saison, de ce numéro. Vous y trouverez des informations intéressantes sur le sujet.

Le numéro effectue un passage à Wendake, lieu incontournable si l’on veut saisir la nature profonde de ce que signifie Québec.

Le monde autochtone est une partie intégrante de la matière explorée par États de Splendeur. Ainsi, l’article central, intitulé  »L’arrière pays », relate la situation qu’occupe aujourd’hui le monde autochtone dans la culture québécoise.

Souvent perçu comme un territoire inconnu, au delà de ce qui nous regarde, les différentes premières nations du Québec concernent pourtant toute la population. Sommes nous encore à l’ère de l’appréciation folklorique des  »indiens »? La perception que nous avons de nos peuples autochtones peut être comprise à travers les représentations culturelles que l’on en fait; ainsi l’on voit, que les choses ont bien changé depuis les années 1960.

Mais même si tout reste à faire, n’est-ce pas là un des plus importants défis culturels auquel un Québec mature doit faire face?

Sommes toutes, bien des problèmes nous unissent, et par conséquent, bien des solutions aussi.

Nous explorerons donc ainsi, à chaque numéro, un différent aspect du monde autochtone du Québec. Chaque fois dans un nouveau coin de pays, trop souvent inexploré.

Bien que ce premier numéro soit dédié à la capitale nationale, il n’en demeure pas moins que le sujet n’est pas exclusif. On y entrevoit donc, d’autres aspects d’art de vivre, tirés de Montréal ainsi que d’autres lieux. Le petit bonheur, nous verrons, peut se trouver et se créer dans bon nombre de contextes.

C’est donc, pour ce premier numéro, une bonne synthèse équilibrée qui reflète la mission d’EDS. Nous espèreons que vous apprécierez cette incursion initiale imprimée, dans le Québec authentique version 2011.

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